THE SEVENTH SIN
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 Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye.

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AuteurMessage
ZADIG ☂ there's no life after you.whore

Zadig C. Calloway
Zadig C. Calloway

AVATAR : Sophia Bush.
AGE : Vingt-Cinq ans.
MULTINICKS : Non.
METIER : Journaliste.
CITATION : I wonder what it feels like to be one of those pretty girls than all the guys want.
MESSAGES : 64
CREDITS : Shattered.


Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye. _
MessageSujet: Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye.   Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye. EmptySam 16 Avr - 23:43



    Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye. Tumblr_ljnzrkxbwb1qbp5dxo1_500

    Maudit réveil. Six heure trente, on n’a pas idée de devoir se lever à cette heure-ci du matin. De toute manière, mes nuits sont si peu sereines, que le manque de sommeil est devenu une banale habitude dans mon existence. C’est vrai depuis le décès de mon frère, pas une nuit ne passe sans que Je me réveille en sursaut, sans que cette nuit atroce, celle où ces hommes m’ont arraché mon frère, ne revienne torturer mon esprit, Je ne suis plus tranquille depuis ce drame, ma vie s’est arrêtée ce soir-là pour ne Jamais reprendre, à quoi bon continuer de vivre comme si de rien n’était alors que mon équilibre, la moitié de mon cœur ne l’est plus. On dit souvent que les Jumeaux ont ce lien si particulier, si fort, et bien les gens ont raison. Et moi ce lien il est parti en fumée le soir de mes dix-huit ans, et Je crois bien que toute mon existence a sombré avec. Je suis à présent En déséquilibre, comme quand on perd sa raison d’avancer, celui qui constituait votre équilibre. Ma gorge se serre sous les sanglots qui ne demandent qu’à couler, mais il n’en sera rien. Je ne suis pas le genre de fille à me laisser aller de la sorte, pleurer ? C’est tellement pathétique, pourquoi oser montrer ses émotions, pour finalement devenir une petite chose faible aux yeux des autres. Je refuse que les gens s’apitoient sur mon sort. C’est tellement facile de faire ça pour finalement venir vous planter un couteau dans le dos à la première occasion possible.

    En partant pour l’Angleterre, avec Gabriel, mon premier et unique amour, Je me disais que Je pourrais reprendre une existence normale, enfin comme reprendre le cours de sa vie quand on n’a plus envie de la vivre, mais Je n’ai réussi à rien, mis à part briser mon histoire avec lui. C’est fou, il me manque, Je lui ai balancé un tas d’horreurs au visage, lui disant que Je ne l’aimais plus, qu’il devait me laisser en paix, mais c’est tout le contraire. Je l’aime, irrémédiablement. Je suis encore amoureuse, et Je crois que cela ne changera Jamais. Mon cœur me dirait de venir vers lui, ma raison me dit de rester ici seule, les choses sont bien trop compliquées à présent, de toute manière il a du refaire sa vie loin de moi, et moi Je suis ici à New-York présent, nos chemins ne se recroiseront plus, et c’est à présence une triste mélancolie qui s’emplit de moi.
    Pas le temps de s’apitoyer sur mon sort de toute manière, Je dois partir pour mon boulot. Je suis Journaliste, après ce qui s’est passé en Angleterre, J’ai abandonné mes études de médecine, pour me consacrer à l’écriture. Je suis à présent Journaliste dans un petit Journal de la ville, Je me suis spécialisée dans les chroniques criminelles, allez savoir pourquoi. Ce monde me fascine, les crimes, les tueurs en séries, ce qui les amène à tuer…Je trouve cela tellement intéressant de pouvoir étudier le mécanisme humain à travers ces articles, à travers ces gestes souvent horrifiants.

    Une fois prête, Je saisie mon sac avant de sortir de mon appartement pour me rendre au commissariat principal pour passer au service des archives, Je dois faire des recherches sur une ancienne affaire. L’affaire O’Donnel, un homme qui a tué une dizaine de prostituées dans l’état de New-York, toutes d’une manière différente, et plus terrible à chaque fois. De nouveaux meurtres ont lieux en ce moment, et à ce que J’ai entendu on pense que le tueur cherche à l’imiter, c’est tellement banal d’imiter quelqu’un…autant trouver sa propre technique…waouh, ce que Je peux m’effrayer moi-même parfois. Après quelques minutes de marche J’entre dans les locaux de la police, soupirant en voyant le monde, Je me hisse Jusqu’à la machine à café coinçant ma pièce de monnaie dedans, génial ! Je donne un coup de la machine mais celle-ci ne me rend ni ma pièce ni mon café, la Journée commence bien ! « Merde ! ». Je soupire en frappant une nouvelle fois dedans avant de m’adosser à celle-ci, Je relève mon regard remarquant la présence d’un homme, un blondinet, plus âgé que moi un dossier à la main qui me regard l’air perplexe. « Une photo ? ». Je crache cette phrase à son visage avant de chercher une autre pièce dans mon portefeuille.
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DAVID ϟ i'm a weirdo

David Mills
David Mills

AVATAR : Brad Pitt
AGE : Trente-cinq ans
MULTINICKS : Marley St-James
METIER : Inspecteur à temps plein.
CITATION : I mean, it’s easier to lose yourself in drugs than it is to cope with life. It’s easier to steal what you want than it is to earn it. It’s easier to beat a child than it is to raise it. Hell, love costs: it takes effort and work.
MESSAGES : 111
CREDITS : Keverdeen


Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye. _
MessageSujet: Re: Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye.   Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye. EmptyDim 17 Avr - 18:34


“zadig'n'david„
I'm sitting here in the boring room. It's just another rainy Sunday afternoon. I'm wasting my time, I got nothing to do. I'm hanging around, I'm waiting for you but nothing ever happens and I wonder.


Je m'en souviens comme si c'était hier. Cette sensation atroce que personne ne devrait avoir à subire un jour, l'horreur même. Il était fou, c'est ce qu'avait conclu mes collègues de la police de Boston : John Doe n'était qu'un putain de cinglé. Dans un monde idéal, personne n'aurait à croiser un jour la route d'un putain de cinglé. En fait, personne ne le serait. Mais sept malchanceux, des personnes maudites, avait croisé celle de ce connard de merde. Sept personnes représentant les sept pêchés capitaux. Tracey était la cinquième, Doe le sixième et moi, j'étais le dernier. Ce qui me différenciait d'eux? J'étais toujours vivant. Pour l'instant.

Deux ans. Deux putains d'années. Ça passe vite. Tellement vite que la blessure est encore béante. J'ai déconné, la première. Beaucoup. Après avoir pris une année sabbatique, j'ai sombré dans l'alcool. Après l'alcool, je ne suis pas allé jusqu'à la drogue, non. Pire encore. J'ai tenté de me suicider. N'ayant plus d'arme de service, je ne pouvais pas me trouer le caisson. Neuf chances sur dix de réussir. Dommage. Au lieu de ça, j'ai accroché toutes les cravates que j'ai pus dégoter les unes aux autres, et j'ai essayé de me pendre. C'auait put marcher, si l'autre grognasse de voisine n'était pas venu se mêler d'autre chose que de son cul. Et voilà où j'en suis, un an encore après. Je me retrouve à bosser dans la police en tant qu'inspecteur, à New York, parce qu'obstiné comme je suis, je ne peux m'empêcher de vouloir faire cesser toute criminalité. Mais je ne suis pas dupe : je ne suis pas un super héros et ça, j'ai pourtant eut le malheur de le croire. Quand Tracey était encore en vie, j'y croyais même dur comme fer! Elle me répétait sans arrêt que j'étais le sien, de héros, qu'elle était fière de moi, et qu'elle m'aimait. Et bon dieu, qu'est-ce que je pouvais l'aimer aussi. Chaque matin, en me levant, j'y repense.

Depuis deux jours, je bossais sur une affaire avec Jim. La disparition d'une adolescente plutôt jolie, sans emmerdes, qui était élevée dans un taudis avec une mère accro aux stups. On ne savait pas ce qu'elle était devenue, si elle avait été enlevée ou encore si elle avait fugué. Sa chambre avait été fouillée de fond en comble et on avait put remarquer que sa personnalité contrastait de façon surprenante avec les conditions dans lesquelles elle vivait. C'était vraiment étrange. Cette gamine me rappelait, dans ses traits, Tracey. Le même air toujours un peu triste dans un regard bleu azur, le sourire pincé, le visage encadré par de longs cheveux blonds. C'était son portrait craché et, bizarrement, cela me donnait encore plus envie de la retrouver. De la retrouver vivante. Je m'étais levé aux aurores, histoire d'avoir le plus rapidement possible les résultats du laboratoires par rapport au test physiologique fait la veille. On avait crut apercevoir la gamine sur les quais du métro et, fort heureusement, le tout avait été filmé par les caméras de surveillance. Rester à savoir si c'était vraiment elle. Le trajet de mon appartement jusqu'au commissariat situé non loin de Times Square était court. Par conséquent, je décidai de faire le chemin à pied, profitant du peu de gens sur les trottoirs par rapport aux autres moments de la journée. Cinq heures du matin. Le soleil se levait à peine sur Big Apple, et les lumières de tous les écrans de la grande place éblouissaient encore chaque passants se trouvant par là. La brise était fraiche. Je laissai l'air entrer dans mes poumons tandis que je fouillais les poches de ma veste. Plus de clopes. Et merde. Je n'avais pas le temps de m'arrêter. Soupirant, je pressai le pas pour arriver plus rapidement à destination. La nuit fut courte et la fatigue commençait d’ors et déjà à m'envahir. Puis, finalement, j'arrivai au poste de police.

Six heures et demi du matin. Toujours pas de résultats. Les gens du labo n'avaient pas donné signe de vie, et l'enquête n'allait pas pouvoir avancer tant que je n'aurais pas les résultats nécessaires. Peut-être était-est-ce elle, peut-être pas. Pour l'instant, je n'en avais toujours aucune idée, chose qui me frustrait tout particulièrement. Dans le bureau à côté du mien, je pouvais entendre mon coéquipier ronfler à travers les fines cloisons. Comme à chaque fois que je bossais avec lui, Jim trouvait le moyen de rattraper le sommeil qu'il avait délaissé la nuit pour s'envoyer en l'air avec une jeunette qui aurait put être sa fille. La quarantaine, bel-homme, il les faisaient toutes craquer en leur disant des mots doux au creux de l'oreille. Mais, évidemment, les femmes finissaient toujours par le haïr lorsqu'il les jetait dehors au petit matin. Ses promesses d'amour n'étaient qu'éphémères, ce qui faisait sa réputation. Vers sept heures, je me levai enfin de ma chaise dans le but d'aller prendre un café. Toujours aussi peu réveillé, je m'avançai vers la vielle machine, sortant mes coins de ma poche de jean. Arrivé sur les lieux, je pus observer une jeune femme s'énerver sur cette rouille ambulante en frappant dessus. Remarquant que je la regardais, elle se tourna vers moi. Une photo? Alors que je failli lâcher un rire narquois, je marchai dans sa direction, me stoppant à son niveau, collé contre l'antiquité. Sans détourner mon regard de la brunette, je donnai un grand coup de poing sur la machine et la pièce ressortit immédiatement. Je me baissai pour la ramasser et la remettre dans l'orifice créé pour cela, avant d'appuyer sur la touche 'décaféiné'. Après tout, énervée comme elle était, ç'aurait put être dangereux de lui donner réellement du café. N'hésitant plus à afficher ce sourire que j'avais auparavant réprimé, je mis ma pièce, pris ma boisson, et repartit en direction de mon bureau quand j'entendis la voix d'un collègue me héler. Mills! Alors, ton enquête? Pas bavard pour un sou, je haussai légèrement les épaules, portant le gobelet à ma bouche. Il afficha alors une mine de mécontentement. Bon. Quand tu seras décidé à parler, viens donc me voir. Il soupira et repartit, tandis que je me postai contre le mur peint dans une couleur vieux jaune.
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ZADIG ☂ there's no life after you.whore

Zadig C. Calloway
Zadig C. Calloway

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MessageSujet: Re: Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye.   Zadig & David Ϟ It's time to say Goodbye. EmptyDim 17 Avr - 21:53

    Parfois, Je me demande à quoi ressemblerait ma vie si mon frère était encore là. C’est fou, comme il me manque, ce n’est pas un manque que l’on ressent par vague, c’est tout le temps, ce poids irrépressible sur ma poitrine comme s’il m’empêchait de respirer par moment, et c’est cela fond. Je manque d’oxygène, une lente asphyxie qui attire mon être vers le fond sans que quelqu’un puisse m’aider. Après son décès, Je n’ai accepté l’aide de personne, ni de mes parents qui ne supportaient plus de me voir me détruire de la sorte, ni des médecins qui croyaient que leurs foutus cachets m’aiderait, et encore moins de lui Gabriel. Mon premier amour l’unique d’ailleurs. On avait tout pour être heureux quand J’y repense. Je me souviens de notre vie à Paris, la ville où J’ai grandis avec Keziah. On formait tous une Joyeuse bande, même si mon frère avait beaucoup de mal à accepter que Je commence à voler de mes propres ailes. Mais au fond, il savait que rien ne changerait entre nous. J’aimais Gabriel, de tout mon être, et la vérité est que Je l’aime encore, sûrement trop, sûrement pas assez par moment. Je lui ai demandé de sortir de ma vie après la mort de mon frère, alors que durant deux années il a tout fait pour m’aider, mais Je n’ai pu accepter son aide, bien trop fière pour tout simplement avouer que J’en avais besoin, et Je suis partie ainsi, le laissant sur le bas-côté avec pour simple raison, une lettre d’excuse. Je regrette tout cela, J’aimerais le retrouver mais Je sais que c’est impossible, de toute manière les années sont passées et il a dû refaire sa vie loin de moi, de nous, de ce que nous étions, et de ce que nous aurions pu être.

    A présent, ma vie est ici à New-York. Je vis seule, ayant coupée toutes les relations que Je pouvais avoir avec mon passé, à quoi bon rester sur des souvenirs, de toute manière, ils ne m’ont Jamais compris, ce n’est pas maintenant qu’il le ferait…et Je ne suis pas seule au fond Keziah est là. Si quelqu’un savait que Je lui parlais, que Je passais du temps ainsi avec lui, on me prendrait pour une folle mais ce n’est pas le cas, Je le vois là à côté de moi me sourire par moment, me tendre la main quand les larmes coulent, me serrer contre lui quand Je n’ai plus la force de supporter ma vie. On s’était fait la promesse de toujours être là l’un pour l’autre, et Je savais que même si son être s’en était allé, il serait toujours près de moi. Je dois dire qu’ici la vie me semble moins difficile que là-bas en France ou même en Angleterre, c’est vrai là-bas, beaucoup de personnes étaient au courant du drame que J’avais dû vivre, et chacun me regardait avec cet air de pitié qui m’insupportait au plus haut point. Ici, personne ne connait mon passé, et encore moins ce que J’ai pu faire dans ma vie. Je veux bien évidemment parler de ce meurtre quand J’étais encore étudiante en médecine. Je crois que ce soir-là, J’ai totalement perdu les pédales, Keziah était là, il me regardait, son regard capable de me faire faire n’importe quoi, il me disait que cet homme dans ce lit était l’un de ces agresseurs, et mon sang n’a fait qu’un tour, J’ai posé ce coussin blanc sur son visage, en appuyant de toutes mes forces comme si tout la colère accumulée depuis le décès de mon frère s’exprimait enfin. Et c’est ainsi que J’ai tué un homme sans que personne ne le sache Jamais.

    Le plus drôle à présent, c’est que Je travaille souvent avec la police New-Yorkaise pour mes articles, pour ma culture personnelles, souvent fascinée par ce milieu ; Tout le monde ici me prend pour la Jolie Journaliste, qui sourit pour obtenir quelques informations, personne ne sait ce que J’ai vécu, et ce que J’ai fait et encore moins de quoi, Je serais capable pour l’amour de mon frère.

    C’est tellement drôle parfois de Jouer avec eux, de leurs faire croire que Je suis comme toutes les autres alors que c’est faux. Soupirant une énième fois face à cette machine qui finira par avoir ma peau, Je regarde le fameux inspecteur, qui me fixe d’un regard insistant avant de venir donner un coup dans la machine débloquant ainsi le mécanisme pour finalement me faire tomber un décaféiné. Je souris intérieurement, il a du remarqué que J’étais déjà bien à cran…Je ne dis rien ramenant le gobelet de café au creux de mes lèvres alors que l’un de ses collègues arrive, lui posant une question au passage mais le dit inspecteur ne semble pas très coopératif avant de finalement se poser contre le mur dont la peinture semble bien défraichie ! Je me fixe avant de m’avancer légèrement vers lui en le regardant. « Merci… ». Je souffle cette phrase bien rare dans mon vocabulaire avant de commencer à marcher vers les archives pour mon enquête. Je finis par me retourner vers lui intriguée par son comportement. « Peu bavard pour un inspecteur, votre pauvre collègue tout de même… ». Je souris légèrement en le taquinant avant de chercher ce maudit dossier dans mon sac à main que Je pose à terre. Je saisi le dossier parlant de l’affaire O’Donel tout en le regardant. « Les archives se trouvent où Monsieur Mills ? ». Ma voix est mielleuse, Je sais très bien où elles se trouvent, mais Je suis certaine qu’il pourra m’être d’une grande aide.
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