| | Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. | |
| Auteur | Message |
---|
❝ Kumiko R. Sakamoto ❞
AVATAR : Mylene jampanoï AGE : 28 ans MULTINICKS : Nope ! METIER : Calligraphe japonaise CITATION : Il y a longtemps, les gens croyaient que quand quelqu’un meurt, un corbeau emporte son âme jusqu’au pays des morts. Mais il arrive parfois quand des choses trop horribles se soient passées que l’âme emporte avec elle une immense tristesse et qu’elle ne puisse pas trouver le repos et quelque fois, mais seulement quelque fois, le corbeau peut faire revenir cette âme pour que le bien reprenne son droit sur le mal. MESSAGES : 4 CREDITS : Enation
| Sujet: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 9:50 | |
| On devient parfois bizarre, en vieillissant, et l'on se raccroche aux lubies les plus aberrantes. Kumiko Sakamoto I - The world is a fine place and worth fighting for ◊nom(s) : Sakamoto ◊prénom(s): Kumiko Ran ◊âge : Vingt huit ans ◊date de naissance : Le 25 décembre ◊lieu de naissance : Hidaka. Ile d'Hokkaido. Japon ◊métier : Restauratrice d'oeuvre d'art ◊principal pêché: L'orgueil
II - he's methodical, precise and to top it all, patient.
◊Quel est ton principal pêché? L'orgueil ou cette manie de me croire supérieure au monde entier. J'ai oublié n'être qu'une femme comme les autres. J'ai bien assez d'estime pour moi pour demeurer consciente de cette différence qui fait de moi un être exceptionnel. ◊Pourquoi? J’étais tant attendue par ma mère que, de l’enfance jusqu’à l’adolescence, elle me choya démesurément et m’adula outrageusement. Alors, à trop me répéter que je suis la plus belle, la plus intelligente et la plus talentueuse des enfants, je finis par y croire et m’en persuader. Aujourd’hui, mon assurance est telle que parfois, je manquerais presque d’humilité. ◊As-tu eu vent de l'affaire John Doe? Vaguement. Lorsque je débarquait en Amérique, le tueur en série était déjà mort. Tout ce que j'en sais, c'est qu'il a puni hommes et femmes envahit par l'un des péchés capitaux. ◊Qu'en penses-tu? C'est bien connu, les sociopathes ont besoin d'excuses pour tuer. Lui, il a choisi les sept péchés capitaux quand d'autres préfèrent tuer les blondes. Selon moi, c'est de la foutaise. Ce ne sont que des fous furieux qui justifient leur aliénation dans des codes débiles. III - it’s easier to lose yourself in drugs
Chapitre 1 La petite-fille de l'entrereneur.
Tandis qu’à la maternité un enfant pousse son premier cri, la salle d’attente est vide. Son père, chevronné joueur de poker s’endette dans une cave d’Hidaka, dilapide les économies du foyer et aucun salaire, pas même celui de son épouse ambassadrice, ne suffirait à offrir au poupon la vie qu’il mérite. Ils n’ont plus un sou. Aussi, en désespoir de cause et muée par ce sentiment dérangeant d’abandon, Susan, américaine expatriée au japon et mère du joli poupon, contacta sa belle-famille. Quel sacrifice. Son beau-père, riche entrepreneur trop à cheval sur les coutumes et les principes, n’a jamais accepté le mode de vie de son fils ou son mariage métissé. C’est donc sans état d’âme qu’il s’opposa au versement d’une rente pour aider à l’éducation de l’enfant. Il avait en tête une tout autre idée.
« S’il avait au moins mis au monde un fils, j’aurais éventuellement pu faire un effort mais, dans ces circonstances...» insista-t-il, rictus aux lèvres et sarcasme dans la voix. « Elle demeure néanmoins votre petite fille et elle a besoin de votre aide. S’il vous plait. » supplia Susan, épuisée par l’accouchement. « Voulez-vous le mieux pour votre enfant ? » demanda-t-il tandis qu’elle opinait du chef. « Dans ce cas, je vais vous aider. Votre fille s’appellera Kumiko, vous pourrez conserver votre indépendance mais vous vous installerez chez moi, répondrai à mes règles et en échange, j’assumerai en lieu et place de mon fils les frais pour votre enfant. Ma femme et moi nous occuperons de son éducation comme de sa scolarité. »
Dans un ultime souffle, n’appréciant que le côté aisé de cette situation, Susan accepta et imposa cette décision à son époux. Ce n’est que plus tard que son choix la priva du plaisir d’être une mère. Bien qu’à ses côtés chaque jour, elle a perdu sa fille qui n’obéissait qu’à son grand-père.
Chapitre 2 L'anamour
« Cher Journal,
Je suis sur un nuage. Un nuage douillet et confortable d’où je découvre avec délectation, mes premiers émois amoureux. Cette fois j’en sûr, c’est le grand amour. Zetsu a tout du Prince Charmant. Ses cheveux sont noirs comme du charbon, ses yeux noirs comme le bois d'ébène, sa bouche rose comme une glace à la fraise et ses lèvres sucrées comme les cerises. Il est tout bonnement parfait et à l’aube de mes seize ans, il m’a embrassée. Je crois que j’en suis amoureuse. Lorsqu’il m’approche, mon cœur s’agite, mes genoux sont mous comme de la guimauve et dans mon ventre, s’envole des papillons. Je me sens tout drôle, toute chose. Je crois qu’il est l’homme de ma vie. Si tu savais comme je suis heureuse. Même les espoirs tyranniques de mes grands-parents me sont plus doux et l'école est désormais un régal depuis ce jour où, pour me surprendre, il vint me chercher en lieu et place de mes grands-parents. Je crois. Non, j’en suis sûr. Je l’aime.»
Chapitre 3 La non-demande en mariage
« Cher Journal,
Te souviens-tu de mon enthousiasme le jour de mon premier baiser ? De mes craintes avant ma première fois ? De mon bonheur pendant les préparatifs de mon mariage ? Je vivais un rêve. Le rêve de toutes les petites filles. Je me sentais unique et privilégiée. La fête était organisée et mon avenir tout tracé. J’étais heureuse mais ça n’a pas duré. Sais-tu comme la chute d’un nuage peut-être douloureuse ? Crois-moi, on y laisse quelques plumes. Dans mon cas, je dirais même beaucoup. Beaucoup plus que je n’aurais voulu.
Ce matin, tandis que mon grand-père, fier, me guidait vers l’autel, les seules aspirations de mon grand amour était la fugue. Notre mariage, il n’en voulait plus et je ne sais si je dois le détester ou l’admirer pour sa franchise. En effet, alors que toute l’assemblée – y compris le maître de cérémonie célébrant normalement notre union, demeurait suspendu à ses lèvres, attendant ce « oui » qu’il troqua pour son parfait contraire. Ce « non », qu’il chuchota froidement transperça mon cœur. Un coup de poignard à ma fierté, un coup de surin dans mon âme, un coup de canif à notre amour.
« Pardon ? » demandais-je stupéfaite tant cette révélation fut soudaine. Je supposais une mauvaise blague. Je doutais qu’il eut l’audace de rompre sa promesse d’éternité le jour fatidique de la célébration. Et pourtant, il osa et, me fiant à ma mémoire, je me suis effondrée en larmes. « Tu plaisantes ? Dis-moi que tu plaisantes ? » l’ai-je supplié, licenciant mon orgueil. Il hocha négativement de la tête, s’excusant humblement, se justifiant inutilement. Personnellement, sa repentance m’importait peu. Il m’a humiliée devant nos proches et nos amis. Je me sens trahie, rabaissée, amoindrie et aucune dignité surfaite ne pourrait redorer mon blason. J’ai donc quitté l’allée d’honneur sans un commentaire, sans un cri, sans un pleur et me voila. Me voila déguisée en mariée à te raconter mes malheurs.
Toi, mon compagnon de toujours, soit témoin que jamais plus l’amour ne me piégera. Soit témoin que désormais, mes amours seront frivoles et sans lendemain. Renvoie-moi à ce souvenir quand, trop faible, je céderai aux charmes d’un beau mâle. Rappelle-moi comme la chute fût vertigineuse. Ne me laisse plus jamais reproduire les mêmes erreurs. Préserve mon orgueil, il est le seul qui compte.»
Chapitre 4 Ma meilleure ennemie
Aujourd'hui, j’ai choisi d’inonder ma peur de vieillir dans l’atelier de mon école. J’ai donc lié mes cheveux dans un chignon et, à choisir la musique qui accompagnera mon inspiration, je me sens déjà mieux. En quelques coups de pinceaux, sans me brusquer, j’use une toile dans des mouvements voluptueux et souple quand l’horloge au-dessus de la porte prétend qu’il est déjà 20 heures. Dieu que les journées sont longues. Pourtant concentrée sur mes mouvements, mon esprit vagabonde vers Livia. Livia, ma meilleure amie si talentueuse, si séduisante et surtout si magnétiquement belle. Elle réveille en moi des sensations jusqu’ici inconnue. Elle semble si bien me connaître qu’elle me retourne le cœur et l’estomac. Son parfum m’étourdit, sa douceur me bouleverse. Je me pose tant de questions. Ses regards sont d’un réconfort aujourd’hui déconcertant, tellement déconcertant qu’en cours, mes yeux pourraient se baisser sous l'intensité de ses iris. La radio diffuse toujours un air de Chopin et, m’épuisant, je noie mes idées dans mon croquis. C’est fou comme ma morale remonte en flèche. Je suis un peu ébranlée, c’est vrai, mais peu à peu, je reprends confiance. N’est-ce pas l’essentiel ?
Les ondes FM et ma respiration saccadée me dissimulèrent l'inopinée visite de mon objet de désir. Pourtant, son parfum et sa démarche la révélèrent tant à mes oreilles qu’à mon nez dès qu’il franchit le seuil de la porte. « Bonsoir Kumiko» me salua-t-elle tandis que ,e dépose mon pinceau pour diriger une main tremblante vers le magnéto. J’aurais volontiers coupé la musique si mon poignet n'était pas prisonnier de la menotte si délicate de mon amie. J’en sursautai et cherchai même à contester sauf qu’aucun son ne quitta mes cordes vocales. Les battements accélérés de mon cœur martelèrent mon crâne. Sa main légère comme de la soie sur mes hanches, son souffle chaud comme une caresse sur ma peau et la musique comme stimulant à la débauche me font tourner la tête. Quelle étrange sensation. J’avais oublié comme il était bon de se sentir si séduisante dans des bras tendres. J’avais même oublié comment dire non à des mains décidées et fermes possédant doucement nos formes de femmes. Bon sang, comme je bénis le tissu de ma robe, parfait bouclier entre ma peau et sa paume quand elle se promène sans pudeur de mes reins à mes seins. Ses lèvres guettent les miennes et je tournerais volontiers la tête pour m’enquérir des siennes quand son murmure me ramène à la réalité.
« Tu as peur ? Tu trembles ! » demanda-t-elle tandis que je la repoussai poliment. Livia m’apparut sage, rebroussant son chemin de quelques pas, offrant l’aise nécessaire à ses intenses pupilles pour capter les miennes. « Ce n’est pas une bonne idée, Je ...je n’ai jamais... » l’ai-je prévenue sans conviction.
Elle, elle prétend que tout se passera bien. Moi, je n’ose alors baisser les yeux craignant de les poser sur sa poitrine rebondie, espérant discerner à l’œil nu les battements trop violents de son cœur. J’aimerais être distraite, pensive, rêveuse et désintéressée mais Livia n’a de cesse de me séduire, emprisonnant mon regard dans l’océan de ses grands yeux. Ils sont si profonds, si expressifs, si humains….et si désappointés face à mes propos menteurs. Je regrette déjà ma maladresse. Je la questionne alors du regard et j’accorde à ma dangereuse tentation une attention maladroite du revers de la main : une caresse spontanée sur sa joue. Ainsi, nos mains se nouent et délaissent ensemble le tissu de ma tenue jusqu’à la peau nue de mes cuisses quand ma tête se vide. De ce simple frôlement naît le soubresaut de mon cœur et de mon corps et, si je parle encore, c’est par saccade, m’interrompant seule soit pour maîtriser ma respiration prise en étau, meurtrir ma lèvre inférieure ou planter les ongles de ma main libre à la naissance des cheveux de ma future amante. Chaque caresse sur ma peau est le passeport pour le péché, pour un secret insoutenable, pour une angoisse permanente, une peur grandissante et pourtant, l’enclume écrasant mon estomac m’empêche de respirer et d’être raisonnable. Paradoxalement, elle m’encourage à accueillir son baiser, à en frémir jusqu’ à rougir par ses éloges et le timbre de sa voix. Cherche-t-elle à me rendre folle ? Ainsi je cède. Ma main pâle, jusqu’ici perdue dans sa nuque, l’exhorte à goûter à la saveur de mon cou. Je respire à pleins poumons les arômes de son parfum. Ma main court déjà sur son chemisier de soie sans braver le tissu mais le message de mon corps est en parfait désaccord avec ma tête lâchement abandonnée par ce cœur blessé, emballé, malappris et incapable d’exprimer quelconques sentiments.
En pareilles circonstances, la politesse est un juda, un traître, une brebis galeuse. Si je suis affable, c’est qu’il me manque l’envie d’être invective. Si Je suis aimable c’est que ses caresses me libèrent. Et….si je suis courtoise, c’est qu’il m’est impossible de lutter davantage devant sa déférence, son souffle rauque, sa voix suave, ses mains sur mon corps dessinant à la volée, comme un croqueur de frimousse, mes invitations fugaces. Bientôt, ma bouche avide cherchera le grain de peau de Livia, elle se glissera de son menton à ses lèvres avec appétence. Mais pour l’instant, ma main, jusqu’ici sagement confinée sur son épaule l’aimante à moi par la boucle de sa ceinture. « Embrasse-moi. Maintenant. »
Et cette fois, je n’ai ni prié ni attendu. Ma bouche offerte à rejoint la sienne sans réserve, sans précaution. Je brûle de découvrir sa douceur sur sa peau nue. Comme hypnotisée par les saccades de sa respiration, mes doigts empruntent, à cette même cadence, le chemin longiligne effeuillant son chemisier rose. Un, deux ou trois succombèrent à la nécessité de répondre à mon désir.
Chapitre 5 Des couleurs dans ma vie
« Cher Journal,
Un soir, alors que je pleurais le désastre de mon mariage dans le confort de ma chambre, ma mère vint me consoler, des conseils judicieux pleins la bouche et je crois que l’un d’entre eux retint toute mon attention.
Attristée de me voir si malheureuse, elle m’assura que réussir une vie d’artiste n’était pas compatible avec une vie de famille. En d’autres temps, j’aurais bondi sur mes jambes pour lui rappeler que mon grand-père s'oppose radicalement à mon désir de restaurer les vieux tableaux. Je n'en fis pourtant rien. Après tout, en dehors de cet art, qu'ai-je envie de faire ? Ai-je seulement d’autres rêves ? J’en doutais. Très jeune, j’ai été formatée pour respecter les disiderata du chef de famille. Ma seule certitude de l’époque est mon talent réel que la sueur de mon front a entretenu. C’est pour cette raison que je réveillai mes propres ambitions pour annihiler celle qu'on aspire pour moi. J’ai bataillé dur mais j’ai réussi.
« Je suis fière de toi » me confia ma mère sur le tarmac de l'aéroport tandis que j’intègre une célèbre école milanaise. Déchiffrer bonheur et vanité dans les yeux de maman fût pour moi le plus beau des cadeaux. Je ne croyais plus en l’amour, je ne croyais plus qu’en mon art aujourd’hui. La colère de mon grand-père ne m'intéressait pas. Je n'ai pas peur qu'il me coupe les vivres. Je travaillerai !»
Chapitre 6 La proposition
« Cher Journal,
Assise devant l’utile coiffeuse de ma chambre d’hôtel fleurant le parfum délicieux de la lavande, j’ai jaugeai mon reflet avec grand intérêt. Je remontai mes pommettes, examinai ces rides naissantes à mes paupières et à l’ourlet de mes lèvres quand j’aperçus mes mains fines aux ongles longs, vernis de rouge. Elles ne m’ont jamais parues aussi abîmées par le temps et je les ai observé, les ai touché, les ai examiné et les ai hydratée. Suis-je encore désirable ou désirée ? Puis-je encore espérer plaire ?
Dépitée, j’ai délaissé ma chaise et mon peignoir de bain pour nouer habilement le ruban rouge d’une robe bustier d’une blancheur immaculée. J’ai fais un tour sur moi-même et je me suis offert un peu de courage. J’ai peur d’être de ces femmes que le temps rend insipides, incolores et inodores ? Non. J’approche simplement mes 27 ans. J’ai donc souris à mon image, j’ai soupiré et clos derrière moi la porte de ma chambre pour rejoindre un ami dans un café du coin. Il souhaitait me parler. J’avais décidé de l'allumer. Au cours de la conversation, cet ami me proposa une place à New York comme restauratrice de tableau dans un musée réputé. La proposition me ravit. J’avais besoin de changer de vie, je n’en pouvais plus. Le changement, c’est tout ce dont j’ai besoin. »
Chapitre 7 La tentation
IV - than it is to cope with life ◊pseudo : Yapas ◊âge : On ne demande pas son âge à une femme voyons ◊avatar : Mylène Jampanoï ◊présence sur le forum : Ce que je peux !!! Je ferai mon maximum
Dernière édition par Kumiko R. Sakamoto le Mer 20 Avr - 9:15, édité 27 fois |
| | |
❝ Lula d. Priestley ❞
AVATAR : Michelle Trachtenberg AGE : Vingt-et-un ans. MULTINICKS : Non METIER : Serveuse en boîte de nuit. CITATION : « God loves violence. » shutter island MESSAGES : 97 CREDITS : avatar; Shiya ••• gif; Crazy Bunny Age : 30
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 9:52 | |
| |
| | |
❝ Kumiko R. Sakamoto ❞
AVATAR : Mylene jampanoï AGE : 28 ans MULTINICKS : Nope ! METIER : Calligraphe japonaise CITATION : Il y a longtemps, les gens croyaient que quand quelqu’un meurt, un corbeau emporte son âme jusqu’au pays des morts. Mais il arrive parfois quand des choses trop horribles se soient passées que l’âme emporte avec elle une immense tristesse et qu’elle ne puisse pas trouver le repos et quelque fois, mais seulement quelque fois, le corbeau peut faire revenir cette âme pour que le bien reprenne son droit sur le mal. MESSAGES : 4 CREDITS : Enation
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 9:52 | |
| |
| | | ★ FREE BITCH Fuckin' perfect ❝ Amber I. McQueen ❞
AVATAR : Megan Fox <3 AGE : 23 ans MULTINICKS : // METIER : stripteaseuse CITATION : Too young to die. Too fast to live MESSAGES : 84 CREDITS : kazumi Age : 31
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 10:08 | |
| Bienvenue |
| | |
❝ Joey Rhimes ❞
AVATAR : Mila Kunis. AGE : 26 ans. MULTINICKS : Pas dans l'instant présent. METIER : Danseuse étoile professionnelle. CITATION : Les yeux de la luxure ont des joies secrètes. MESSAGES : 73 CREDITS : © Foolish Pleasure (avatar);
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 12:01 | |
| Bienvenue ! |
| | |
❝ Dyalan Gramms ❞
AVATAR : Heath Ledger ( is mine ) AGE : Trente deux ans MULTINICKS : x METIER : x CITATION : x MESSAGES : 11 CREDITS : Ziggie
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 13:10 | |
| hannn milène Première fois de toute ma vie que je la vois sur un rp. Bienvenue |
| | | MARLEY ϟ the girl on fire ❝ Marley St-James ❞
AVATAR : Lyndsy Fonseca AGE : Vingt-deux ans MULTINICKS : David Mills METIER : Étudiante en stylisme CITATION : Quelqu’un entre dans notre vie et une partie de nous dit : « T’es tout sauf prêt ». Et l’autre partie dit : « Fait la tienne pour l’éternité ». MESSAGES : 261 CREDITS : Keverdeen
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 13:26 | |
| Bienvenue, et excellent choix de scénario. |
| | |
❝ Asya L. Kuznetzov ❞
AVATAR : Diane Kruger AGE : Vingt neuf ans MULTINICKS : Nop' METIER : Romancière CITATION : « Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble vétéran de vaudeville distribué vicieusement dans les rôles de victime et de vilain par les vicissitudes de la vie. Ce visage, plus qu’un vil vernis de vanité, est un vestige de la vox populi aujourd’hui vacante, évanouie. Cependant cette vaillante visite d’une vexation passée se retrouve vivifiée et a fait voeu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice et versant dans la vicieusement violente et vorace violation de la volition. Un seul verdict, la vengeance, une vendetta telle une offrande votive mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire valoir le vigilant et le vertueux. En vérité ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux, alors laisse moi simplement ajouter que c’est un véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V. » MESSAGES : 41 CREDITS : e d e n m e m o r i e s Age : 33
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 18:32 | |
| |
| | |
❝ Kumiko R. Sakamoto ❞
AVATAR : Mylene jampanoï AGE : 28 ans MULTINICKS : Nope ! METIER : Calligraphe japonaise CITATION : Il y a longtemps, les gens croyaient que quand quelqu’un meurt, un corbeau emporte son âme jusqu’au pays des morts. Mais il arrive parfois quand des choses trop horribles se soient passées que l’âme emporte avec elle une immense tristesse et qu’elle ne puisse pas trouver le repos et quelque fois, mais seulement quelque fois, le corbeau peut faire revenir cette âme pour que le bien reprenne son droit sur le mal. MESSAGES : 4 CREDITS : Enation
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 18:42 | |
| Merci à vous tous et tout particulièrement à ma chère Azya
Et Daylan, je te retourne le compliment pour ton avatar. Heath est, à mon avis, trop rare ces derniers temps |
| | |
❝ Lou Finnigan ❞
AVATAR : hunter parrish AGE : vingt-quatre ans MULTINICKS : aucun METIER : sans emploi CITATION : « you only live once; but if you live it right, once is enough » MESSAGES : 35 CREDITS : Keverdeen
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Lun 18 Avr - 21:37 | |
| Bienvenue & bonne continuation pour ta fiche ! :) |
| | | HARLEY ☂ rock my world, i'm not a whore ❝ Harley E. Rockesbury ❞
AVATAR : Erin Heatherton AGE : Vingt-deux ans MULTINICKS : Non METIER : Secrétaire, étudiante en stylisme CITATION : You are not a beautiful and unique snow flake. You are the same decaying organic matter that every one else, and we are all part of the same compost pile MESSAGES : 95 CREDITS : Starry Eyed (avatar) ☂ Tumblr (gif)
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. Mar 19 Avr - 2:35 | |
| Bienvenue |
| | |
❝ Contenu sponsorisé ❞
| Sujet: Re: Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. | |
| |
| | | | Kumiko ~ Sa silhouette semblait voler, à peine toucher le sol, presque irréelle. | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |